KUSUNOKI

15,00 €

Résine d’oliban, aiguilles de sapin, bois de santal blanc.

Sylvestre, en clair-obscur, sérénité végétale.

Kusunoki — ( , prononcé « Kou-sou-no-ki ») — désigne en japonais le majestueux camphrier. Il ouvre le chemin vers les hauteurs d’une forêt japonaise, lieu de quiétude vibrante, où chaque feuillage retient une part de l’invisible.
Résineux, boisé, camphré et épicé, il est le souffle doux annonçant le réveil de la nature.
Inspiré d’une recette du XVe siècle, élégante harmonie de la nature éphémère, réinterprété et dosé pour devenir un bâtonnet d’encens harmonieux.


LES NOTES OLFACTIVES

La résine d’oliban, lumineuse et aérienne, déploie une chaleur subtilement citronnée, rappelant le chemin forestier au premier souffle du printemps dans les montagnes japonaises.
Les aiguilles de sapin et la girofle forment un souffle vert et épicé, guidant le promeneur sur un sentier éphémère en clair-obscur. Terre et sous-bois se mêlent, offrant un bain forestier d’une vitalité douce et enveloppante.
Le camphre s’écoule comme un ruisseau cristallin, frais et revigorant, compagnon discret des pas et des pensées.
Le bois de santal blanc, crémeux et profond, relie la canopée jeune et lumineuse à la terre moelleuse, réchauffée par la sortie de l’hiver, apportant une sérénité durable à l’ensemble.

LA CRÉATION

Lorsque les fragrances deviennent sources d’inspiration poétique, naît un encens historique drapé de raffinement.
Au commencement, un intérêt pour l’art et la culture japonaise et la pratique du Kōdō* — la voie de l’encens — le plus haut degré dans l’art de percevoir les odeurs au Japon.
Des cercles d’érudits du XVe siècle, amateurs de poésie, se réunissaient pour sentir des essences rares : bois précieux, résineux camphrés et épices. Ces plaisirs olfactifs inspiraient alors des écrits et visions poétiques.

La composition contemporaine, réinterprétation de cette inspiration, devient un poème éphémère.
La girofle et le camphre évoquent une terre chaude caressant un ruisseau frais ; les aiguilles de sapin, vertes et résineuses, dansent au souffle du printemps naissant ; l’oliban, lumineux, traverse le feuillage d’une note subtilement citronnée ; le santal enveloppe cette forêt, telle une coupe de bois tenue au creux de la main, accueillant chaque note de la nature en éveil.

L’OBJET

Un flacon de verre noble, orné d’une gravure** de 1880 représentant le Sanmon*** du temple Kenchō‑ji à Kamakura, au Japon.
Il incarne ici, en toute humilité, la fonction de portail : inviter quiconque le souhaite à l’expérience raffinée du Kōdō*.

*Kōdō (香道) — « la voie de l’encens » — développé comme un art aristocratique par les samouraïs lettrés, moines zen, érudits impériaux et marchands cultivés. Il s’inscrit dans la triade des arts traditionnels de raffinement avec :

  • Sadō (茶道) — « voie du thé »

  • Ikebana (華道) — « voie des fleurs »
    Tous reflètent une quête d’élégance, de maîtrise et d’harmonie, fondée sur la sensibilité esthétique japonaise (wabi-sabi, yūgen).

**Gravure intitulé « Temple Gateway at Isshinden », gravure d’un(e) artiste inconnu(e), identifiée comme représentant fort probablement le Sanmon du temple Kenchō‑ji à Kamakura.

***Sanmon — la porte monumentale des temples zen, symbolisant le passage du monde profane vers l’espace sacré.





Les senteurs dansent, la mémoire s’éveille, les émotions s’envolent…

Résine d’oliban, aiguilles de sapin, bois de santal blanc.

Sylvestre, en clair-obscur, sérénité végétale.

Kusunoki — ( , prononcé « Kou-sou-no-ki ») — désigne en japonais le majestueux camphrier. Il ouvre le chemin vers les hauteurs d’une forêt japonaise, lieu de quiétude vibrante, où chaque feuillage retient une part de l’invisible.
Résineux, boisé, camphré et épicé, il est le souffle doux annonçant le réveil de la nature.
Inspiré d’une recette du XVe siècle, élégante harmonie de la nature éphémère, réinterprété et dosé pour devenir un bâtonnet d’encens harmonieux.


LES NOTES OLFACTIVES

La résine d’oliban, lumineuse et aérienne, déploie une chaleur subtilement citronnée, rappelant le chemin forestier au premier souffle du printemps dans les montagnes japonaises.
Les aiguilles de sapin et la girofle forment un souffle vert et épicé, guidant le promeneur sur un sentier éphémère en clair-obscur. Terre et sous-bois se mêlent, offrant un bain forestier d’une vitalité douce et enveloppante.
Le camphre s’écoule comme un ruisseau cristallin, frais et revigorant, compagnon discret des pas et des pensées.
Le bois de santal blanc, crémeux et profond, relie la canopée jeune et lumineuse à la terre moelleuse, réchauffée par la sortie de l’hiver, apportant une sérénité durable à l’ensemble.

LA CRÉATION

Lorsque les fragrances deviennent sources d’inspiration poétique, naît un encens historique drapé de raffinement.
Au commencement, un intérêt pour l’art et la culture japonaise et la pratique du Kōdō* — la voie de l’encens — le plus haut degré dans l’art de percevoir les odeurs au Japon.
Des cercles d’érudits du XVe siècle, amateurs de poésie, se réunissaient pour sentir des essences rares : bois précieux, résineux camphrés et épices. Ces plaisirs olfactifs inspiraient alors des écrits et visions poétiques.

La composition contemporaine, réinterprétation de cette inspiration, devient un poème éphémère.
La girofle et le camphre évoquent une terre chaude caressant un ruisseau frais ; les aiguilles de sapin, vertes et résineuses, dansent au souffle du printemps naissant ; l’oliban, lumineux, traverse le feuillage d’une note subtilement citronnée ; le santal enveloppe cette forêt, telle une coupe de bois tenue au creux de la main, accueillant chaque note de la nature en éveil.

L’OBJET

Un flacon de verre noble, orné d’une gravure** de 1880 représentant le Sanmon*** du temple Kenchō‑ji à Kamakura, au Japon.
Il incarne ici, en toute humilité, la fonction de portail : inviter quiconque le souhaite à l’expérience raffinée du Kōdō*.

*Kōdō (香道) — « la voie de l’encens » — développé comme un art aristocratique par les samouraïs lettrés, moines zen, érudits impériaux et marchands cultivés. Il s’inscrit dans la triade des arts traditionnels de raffinement avec :

  • Sadō (茶道) — « voie du thé »

  • Ikebana (華道) — « voie des fleurs »
    Tous reflètent une quête d’élégance, de maîtrise et d’harmonie, fondée sur la sensibilité esthétique japonaise (wabi-sabi, yūgen).

**Gravure intitulé « Temple Gateway at Isshinden », gravure d’un(e) artiste inconnu(e), identifiée comme représentant fort probablement le Sanmon du temple Kenchō‑ji à Kamakura.

***Sanmon — la porte monumentale des temples zen, symbolisant le passage du monde profane vers l’espace sacré.





Les senteurs dansent, la mémoire s’éveille, les émotions s’envolent…

Informations complémentaires

Encens artisanal, réalisé à la main par Ignitus Archegonis

Élaborés exclusivement à partir d’ingrédients d’origine naturelle ( résines, bois, racines, écorces, feuilles, fleurs, fruits, graines, ainsi que parfois d’huiles essentielles.)

Contenance : 7 bâtonnets par fiole, format large européen, réalisés à la main.
Usage : parfum d’ambiance — ne pas ingérer
Possibilités d’utilisation :
 – Afin de ne pas utiliser des ressources inutilement, les bâtonnets sont
sans baguettes de bambou. En l’absence d’un porte-encens adapté, utilisez un contenant en forme de bol, chaudron, coupelle, calice etc,,, et versez du sable à l’intérieur.
En quantité suffisante pour y faire tenir solidement un bâtonnets en position verticale.
Embraser l’extrémité supérieur, soufflez doucement pour éteindre toute flamme et attiser le brasier qui s’est formé, profitez, en respectant les consignes de sécurité
Recommandation :
 – En fonction de vos envies, éteignez le bâtonnets d’encens après 10 à 15 min de fumigation, en le retournant pour placer le brasier dans le sable afin de l’étouffer.
Vous pourrez ainsi profiter d’un même bâtonnets, 3 à 4 fois, allongeant d’autant la durée de vie du flacon.
Sécurité :
 – Ne pas laisser sans surveillance lors de l’utilisation.
 – Tenir hors de portée des enfants et des animaux.
 – Utiliser dans un endroit ventilé et éviter l’inhalation directe de la fumée.


Allergènes et précautions :

• Les encens sont composés de matières végétales naturelles — résines, bois, racines, écorces, feuilles, fleurs, fruits, graines — ainsi que parfois d’huiles essentielles.
Ces substances contiennent naturellement des acides résiniques, esters, terpènes et phénols, qui peuvent provoquer une sensibilisation cutanée ou respiratoire chez les personnes sensibles.
• Les huiles essentielles, bien que naturelles, sont des extraits concentrés susceptibles d’irriter les voies respiratoires, notamment chez les enfants, les femmes enceintes et les personnes asthmatiques.
• En cas de gêne respiratoire, d’irritation cutanée ou oculaire, cessez immédiatement l’utilisation et consultez un professionnel de santé si nécessaire.
• Ces matières naturelles sont traditionnellement utilisées comme encens depuis des siècles et sont généralement bien tolérées dans des conditions d’usage modérées.



La recette, ainsi que nos étiquettes et bâtonnets peuvent évoluer au fil du temps, tout en restant fidèles à l'esprit de la collection.