SANCTUAIRE

26,00 €

Camphre, oliban, santal blanc.

Havre, clarté, chaleur.

Un espace-refuge, physique autant que symbolique, où l’on se retrouve soi-même.
Des fragrances ouvrant une citadelle intime, un lieu que chacun porte en soi, offrant calme, force et clarté.
Au seuil de ce havre, le monde semble discrètement changer de perspective.
Une pièce familière, un paysage précieux ou une chambre secrète au cœur de l'âme.
Un lieu silencieux de recherche et d'introspection où l'on respire, où l’on existe pour soi et rassemble ses pensées.

LES NOTES OLFACTIVES

Le camphre, frais et vif, ouvre l’air avec légèreté. Il est le seuil de ce havre personnel, apportant un changement net et cristallin dans l’atmosphère, marquant l’entrée d’un espace intemporel où règne la clarté des pensées.

L’oliban, résineux et aérien, forme les verrières de ce lieu. Ses notes subtilement citronnées et minérales sont les puits de lumière calme et les colonnes solides sur lesquelles la pensée peut s’appuyer.

Le santal blanc, boisé et crémeux, appose sa douceur lisse et enveloppante, formant un fauteuil, une étoffe délicate et un nectar chaud et soyeux au palais. Il devient tenture sur les murs et révèle la patine du temps entourant le cabinet de lecture.

LA CRÉATION

Dans l’atelier, on aime les histoires et ce qui a du sens. Souvent, ces récits possèdent un lieu qui représente sécurité et confort, un espace coupé du monde. Il peut être réel ou exister dans l’esprit, c’est un sanctuaire. En voici une définition. Voyons ce dont il s'agit et son accord avec cette brume d’atmosphère.

Un sanctuaire intérieur est cet espace intime, d’un calme profond et paisible, où l’on revient à soi-même. C’est une demeure douce, silencieuse et intangible, où demeurent les ressources les plus fines de l’âme, clarté, mémoire, sensibilité, courage discret.
Préservé ici de l’agitation, les pensées s’y déposent comme des poussières d’or sur un autel resté intact. Ce lieu n’a ni portes ni murs, il n’existe que par l’élan qui conduit chacun vers sa propre chambre de paix. Le sanctuaire intérieur n’est ni un refuge de fuite ni un retrait mélancolique, c’est un espace où l’on respire plus lentement, où l’on se souvient de soi.

Un sanctuaire physique est un lieu du monde tangible où l’on ressent, dès le seuil, une impression de paix ancienne. Ce sont des espaces préservés, tenus à l’écart du tumulte commun, où le temps semble ralentir pour laisser le corps respirer et l’esprit se délier.
On n’y cherche pas la majesté du sacré, mais la simplicité d’un refuge. Ce sont souvent des lieux modestes, une chambre baignée d’ombre claire, un atelier familier, un jardin retiré, mais qui portent, comme une signature invisible, une force intangible, rien n’y heurte, rien n’y presse. Leur calme est tel que l’on s’y sent accueilli, comme si le lieu lui-même veillait à notre repos.
Le sanctuaire physique n’a pas besoin de murs anciens ou de rites, il suffit qu’il offre une halte, un centre, un espace où l’on se retrouve entièrement, affranchi pour un temps des exigences du monde extérieur.

En littérature, il correspond parfois à des endroits personnels ou étrangers qui influencent les protagonistes, qui y trouvent paix et intemporalité.
La forêt-royaume elfique de Lothlórien, chez Tolkien, exerce sur la communauté un apaisement profond.
Dans Mrs Dalloway, Virginia Woolf crée un sanctuaire intérieur mouvant, où Clarissa trouve refuge dans l’errance de ses pensées et la contemplation, loin du tumulte de la ville.
Le capitaine Nemo, chez Jules Verne, trouve sous l’océan, au sein du Nautilus, un refuge de paix loin du monde dit civilisé.
Chez Proust, les chambres du souvenir dans À la recherche du temps perdu sont des lieux mentaux où le temps s’abolit.
Tant d’autres exemples fort existent. La masure de la rue Plumet, chez Victor Hugo pour Jean Valjean et Cosette dans Les Misérables. Les champs Élysées dans la mythologie grecque. Le château dans Harry Potter, où Harry se sent chez lui, ou encore la maison de Marilla et Matthew Cuthbert pour Anne dans Anne of Green Gables. Tous ces lieux incarnent un refuge de stabilité, de chaleur et de paix.

Tous ces lieux de fiction possèdent leur identité olfactive propre.
Si l’on cherche davantage au-delà, un parfum commun se révèle, symbolisant l’essence d’un havre paisible, chaleureux et intemporel, ma bibliothèque et, de façon générale, « les bibliothèques ».

Quand les livres se font portes des sanctuaires.

Voici l’image olfactive d’un tel socle commun, selon mon ressenti et mes souvenirs les plus anciens liés au monde des livres.
Le camphre, installe un air clair et vif, marquant avec netteté le moment où l’on franchit le seuil d’un sanctuaire, gardant l'atmosphère légère et cristalline.
L’oliban, forme la lumière douce aux nuances d’or pâle, créant formes et contrastes. Érigeant des colonnes de pierre aux reflets dorés, solides et immuables.
Le bois de santal blanc emplit l’espace d'un cabinet de lecture à la collection infinie. Sa chaleur poudrée fait apparaître un fauteuil, une étoffe soyeuse et une coupe, que l'on effleure des lèvres, à la rencontre d’un nectar exquis.

Cette brume est un sanctuaire éphémère que l’on emporte, et dont on franchit le seuil à volonté, d’un geste maîtrisé.

L’OBJET

Un flacon de verre noble, orné du travail graphique d’Armand. Sa composition évoque l’équilibre subtil et vibrant de l’ombre et de la lumière, telles qu’elles habitent tout sanctuaire.
Deux cercles ornementés symbolisent les espaces physiques et mentaux.
Le fond est une brume impalpable, marbrée de reflets d’or, incarnant le flot serein des pensées libérées par ce cocon olfactif.

Les senteurs dansent, la mémoire s’éveille, les émotions s’envolent…


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Havre, clarté, chaleur.

Un espace-refuge, physique autant que symbolique, où l’on se retrouve soi-même.
Des fragrances ouvrant une citadelle intime, un lieu que chacun porte en soi, offrant calme, force et clarté.
Au seuil de ce havre, le monde semble discrètement changer de perspective.
Une pièce familière, un paysage précieux ou une chambre secrète au cœur de l'âme.
Un lieu silencieux de recherche et d'introspection où l'on respire, où l’on existe pour soi et rassemble ses pensées.

LES NOTES OLFACTIVES

Le camphre, frais et vif, ouvre l’air avec légèreté. Il est le seuil de ce havre personnel, apportant un changement net et cristallin dans l’atmosphère, marquant l’entrée d’un espace intemporel où règne la clarté des pensées.

L’oliban, résineux et aérien, forme les verrières de ce lieu. Ses notes subtilement citronnées et minérales sont les puits de lumière calme et les colonnes solides sur lesquelles la pensée peut s’appuyer.

Le santal blanc, boisé et crémeux, appose sa douceur lisse et enveloppante, formant un fauteuil, une étoffe délicate et un nectar chaud et soyeux au palais. Il devient tenture sur les murs et révèle la patine du temps entourant le cabinet de lecture.

LA CRÉATION

Dans l’atelier, on aime les histoires et ce qui a du sens. Souvent, ces récits possèdent un lieu qui représente sécurité et confort, un espace coupé du monde. Il peut être réel ou exister dans l’esprit, c’est un sanctuaire. En voici une définition. Voyons ce dont il s'agit et son accord avec cette brume d’atmosphère.

Un sanctuaire intérieur est cet espace intime, d’un calme profond et paisible, où l’on revient à soi-même. C’est une demeure douce, silencieuse et intangible, où demeurent les ressources les plus fines de l’âme, clarté, mémoire, sensibilité, courage discret.
Préservé ici de l’agitation, les pensées s’y déposent comme des poussières d’or sur un autel resté intact. Ce lieu n’a ni portes ni murs, il n’existe que par l’élan qui conduit chacun vers sa propre chambre de paix. Le sanctuaire intérieur n’est ni un refuge de fuite ni un retrait mélancolique, c’est un espace où l’on respire plus lentement, où l’on se souvient de soi.

Un sanctuaire physique est un lieu du monde tangible où l’on ressent, dès le seuil, une impression de paix ancienne. Ce sont des espaces préservés, tenus à l’écart du tumulte commun, où le temps semble ralentir pour laisser le corps respirer et l’esprit se délier.
On n’y cherche pas la majesté du sacré, mais la simplicité d’un refuge. Ce sont souvent des lieux modestes, une chambre baignée d’ombre claire, un atelier familier, un jardin retiré, mais qui portent, comme une signature invisible, une force intangible, rien n’y heurte, rien n’y presse. Leur calme est tel que l’on s’y sent accueilli, comme si le lieu lui-même veillait à notre repos.
Le sanctuaire physique n’a pas besoin de murs anciens ou de rites, il suffit qu’il offre une halte, un centre, un espace où l’on se retrouve entièrement, affranchi pour un temps des exigences du monde extérieur.

En littérature, il correspond parfois à des endroits personnels ou étrangers qui influencent les protagonistes, qui y trouvent paix et intemporalité.
La forêt-royaume elfique de Lothlórien, chez Tolkien, exerce sur la communauté un apaisement profond.
Dans Mrs Dalloway, Virginia Woolf crée un sanctuaire intérieur mouvant, où Clarissa trouve refuge dans l’errance de ses pensées et la contemplation, loin du tumulte de la ville.
Le capitaine Nemo, chez Jules Verne, trouve sous l’océan, au sein du Nautilus, un refuge de paix loin du monde dit civilisé.
Chez Proust, les chambres du souvenir dans À la recherche du temps perdu sont des lieux mentaux où le temps s’abolit.
Tant d’autres exemples fort existent. La masure de la rue Plumet, chez Victor Hugo pour Jean Valjean et Cosette dans Les Misérables. Les champs Élysées dans la mythologie grecque. Le château dans Harry Potter, où Harry se sent chez lui, ou encore la maison de Marilla et Matthew Cuthbert pour Anne dans Anne of Green Gables. Tous ces lieux incarnent un refuge de stabilité, de chaleur et de paix.

Tous ces lieux de fiction possèdent leur identité olfactive propre.
Si l’on cherche davantage au-delà, un parfum commun se révèle, symbolisant l’essence d’un havre paisible, chaleureux et intemporel, ma bibliothèque et, de façon générale, « les bibliothèques ».

Quand les livres se font portes des sanctuaires.

Voici l’image olfactive d’un tel socle commun, selon mon ressenti et mes souvenirs les plus anciens liés au monde des livres.
Le camphre, installe un air clair et vif, marquant avec netteté le moment où l’on franchit le seuil d’un sanctuaire, gardant l'atmosphère légère et cristalline.
L’oliban, forme la lumière douce aux nuances d’or pâle, créant formes et contrastes. Érigeant des colonnes de pierre aux reflets dorés, solides et immuables.
Le bois de santal blanc emplit l’espace d'un cabinet de lecture à la collection infinie. Sa chaleur poudrée fait apparaître un fauteuil, une étoffe soyeuse et une coupe, que l'on effleure des lèvres, à la rencontre d’un nectar exquis.

Cette brume est un sanctuaire éphémère que l’on emporte, et dont on franchit le seuil à volonté, d’un geste maîtrisé.

L’OBJET

Un flacon de verre noble, orné du travail graphique d’Armand. Sa composition évoque l’équilibre subtil et vibrant de l’ombre et de la lumière, telles qu’elles habitent tout sanctuaire.
Deux cercles ornementés symbolisent les espaces physiques et mentaux.
Le fond est une brume impalpable, marbrée de reflets d’or, incarnant le flot serein des pensées libérées par ce cocon olfactif.

Les senteurs dansent, la mémoire s’éveille, les émotions s’envolent…


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SILVANOR
SILVANOR
26,00 €

Informations complémentaires

Brume artisanale, confectionnée à la main par Ignitus Archegonis
Élaborée exclusivement à partir d’huiles essentielles et de parfums de Grasse.

Contenance : 30 ml par flacon.
Usage : brume d’ambiance à vaporiser dans l’air, ne pas ingérer, ne pas appliquer sur la peau.

Conseils d’utilisation :
Vaporiser dans l’air, sur un mouchoir ou dans une petite coupelle pour diffuser les senteurs à proximité. En fonction de vos envies, une à deux pulvérisations suffisent pour parfumer délicatement l’atmosphère.

Cette brume accompagne vos moments de lecture, d’écriture, de discussions amicales, de jeux de plateau ou de jeux de rôle, et même vos pas de danse esquissés seuls ou à plusieurs.

Sécurité et précautions :

  • Tenir hors de portée des enfants et des animaux.

  • Ne pas vaporiser sur la peau, dans les yeux ou ingérer.

  • Utiliser avec modération, dans un endroit ventilé.

  • Produit inflammable : garder à l’écart de toute flamme ou source de chaleur.

Allergènes et sensibilité :

  • Contient des huiles essentielles de Cinnamomum camphora, Boswellia carterii, Santalum album.

  • Substances naturellement aromatiques pouvant provoquer une sensibilisation respiratoire chez les personnes sensibles.

  • En cas de gêne, cesser l’utilisation et consulter un professionnel de santé si nécessaire.

Évolution du produit :
La recette, ainsi que les étiquettes et flacons, peuvent évoluer au fil du temps tout en restant fidèles à l’esprit de la collection. La première photo montre le flacon dans sa version actuelle.

Composition :
Alcohol denat., Aqua, Cinnamomum camphora Leaf Oil (ou Camphor CT Camphor), Boswellia carterii Oil, Santalum album Oil.


🔥 GHS02 — Liquide inflammable
⚠️ GHS07 — Peut provoquer une allergie cutanée